Voici quelques questions fréquemment posées sur les thérapies égypto-esséniennes.
Nous avons essayé d’être précis et exhaustifs dans les réponses … mais les soins restent une expérience et, en tant que telles, elles sont difficiles à décrire.
Chaque soin est une expérience différente, alors, en attendant de les essayer, voici quelques réponses…
Dans la pratique, comment se déroule un soin Egypto-Essénien ?
Après une soigneuse première prise de contact avec le patient, de son ressenti et de ses besoins, différents moyens sont utilisés pour rééquilibrer l’organisme, comme l’harmonisation des chakras, l’activation des sous chakras secondaires, des massages en lemniscate, l’imposition des mains pour mettre en résonance les chakras et éveiller les courants de vie.
Des onctions aux huiles essentielles et spagyriques sont utilisées, ainsi que le son, la voix, le silence, le souffle, la lecture d’aura.
Que procurent les soins Egypto-Esséniens ?
Les soins Egypto-Esséniens sont des soins énergétiques qui permettent d’accompagner le patient vers le retour à l’équilibre de toutes les composantes de son être.
Permettant un travail en profondeur, ils favorisent une meilleure harmonie entre les différents corps énergétiques de l’Etre (éthérique, émotionnel, mental). Ils permettent de lever certains voiles quant à l’origine des maux, de remonter à leur source. Ils favorisent ainsi un meilleur alignement entre le corps, l’âme et l’esprit.
L’attitude du thérapeute est basée sur l’ouverture du cœur. Celui-ci peut alors servir de canal aux énergies terrestres et célestes pour accompagner et aider le patient dans son processus de guérison.
Les soins traitent les différents centres énergétiques du corps (chakras), leurs sous chakras et les circuits d’énergie (nadis), mais aussi les organes dans leur aspect subtil ou énergétique. Ils font appel aux sens subtils (toucher, mais aussi vision, audition, odorat voire goût subtil). Ils associent lumière et son à cet état de cœur qui est celui du thérapeute.
Enfin, les soins Egypto-Esséniens proposent la lecture d’aura qui permet, en allant au delà du visible, d’en savoir un peu plus sur le passé proche ou lointain. C’est ainsi que l’on trouvera l’origine des blessures qui ont générées des réflexes de comportement et de pensée qui induisent la maladie actuelle du patient. Cela passe donc par un travail de pacification, de réconciliation de toutes les composantes de l’être humain.
Qu’est ce qui distingue les soins Egypto-Esséniens des autres formes de thérapies telles le Reiki ou la pranothérapie ?
La Pranothérapie et le Reiki, tout comme la thérapie Egypto-Essénienne, sont des pratiques servant à rétablir l’équilibre, conscience-esprit-corps, au niveau de l’énergie vitale. Bien que ces différents types de traitement possèdent un objectif similaire, ils sont cependant profondément distincts par leur origine, leur fondement et leurs modalités de soins. Pour vous donner un aperçu de ces différences, voici quelques points marquants:
La Pranothérapie est basée sur l’idée que le corps humain est un champ énergétique dans lequel circule le Prana ou énergie vitale. La maladie est le résultat de l’état de déficience énergétique d’un organe. Le Pranothérapeute, par l’imposition des mains et la confiance en son intuition, met à la disposition d’autrui sa propre source de Prana pour supprimer le blocage et faire circuler l’énergie vitale dans l’organe faisant défaut. La transmission du nouveau Prana (celle du thérapeute) survient entre cellule et cellule.
Dans les soins Egypto-Esséniens, le thérapeute est avant tout un outil entre le moi supérieur et la personne, entre l’énergie du ciel et de la terre et le corps. Il a pour fonction d’aider la conscience de la personne traitée à communiquer avec son propre blocage énergétique, émotionnel, mental, à l’élaborer et à l’intégrer afin qu’il puisse trouver un nouvel équilibre. Ceci est rendu possible du fait qu’il crée un espace sacré, au début de chaque traitement, lui permettant d’effacer temporairement son individualité pour servir simplement et humblement de canal.
La thérapie Egypto-Essénienne prend en compte non seulement le corps vital ou éthérique, mais aussi tous les autres corps subtils (astral, mental, causal) pouvant provenir de la nature réelle du blocage dans le but de le désamorcer et réintroduire ainsi l’harmonie dans les différents plans.
Le Reiki utilise aussi l’imposition des mains et trouve son fondement dans l’énergie vitale universelle à laquelle on accède à travers un rite initiatique. Ceux qui pratiquent le Reiki transmettent cette énergie avec l’intention de guérir les blessures, d’enlever les blocages à l’origine d’un conflit psychique et de réintroduire des émotions positives, canaux de l’équilibre et de la santé du corps. Pour chaque symptôme, une imposition des mains est enseignée permettant d’ôter les blocages. À un niveau plus avancé, les blocages peuvent être éliminés même à distance.
Les soins Egypto-Esséniens sont des soins énergétiques qui permettent d’accompagner le patient vers le retour à l’équilibre de toutes les composantes de son être.
Permettant un travail en profondeur, ils favorisent une meilleure harmonie entre les différents corps énergétiques de l’Etre (éthérique, émotionnel, mental). Ils permettent de lever certains voiles quant à l’origine des maux, de remonter à leur source. Ils favorisent ainsi un meilleur alignement entre le corps, l’âme, et l’esprit.
L’attitude du thérapeute y est basée sur l’ouverture du cœur. Celui-ci peut alors servir de canal aux énergies terrestres et célestes pour accompagner et aider le patient dans son processus de guérison.
Les soins traitent les différents centres énergétiques du corps (chakras), leurs sous chakras et circuits d’énergie (nadis), mais aussi les organes dans leur aspect subtil ou énergétique. Ils font appel aux sens subtils (toucher, mais aussi vision, audition, odorat voire goût subtil). Ils associent lumière et son à cet état de cœur qui est celui du thérapeute.
Enfin, les soins égypto-esséniens proposent la lecture d’aura qui permet, en allant au delà du visible, d’en savoir un peu plus sur le passé proche ou lointain. C’est ainsi que l’on trouvera l’origine des blessures qui ont générées des réflexes de comportement et de pensée qui induisent la maladie actuelle du patient. Cela passe donc par un travail de pacification, de réconciliation de toutes les composantes de l’être humain.
De nombreux élèves viennent suivre la formation en thérapies égypto-esséniennes, alors qu’ils sont déjà praticiens en Reiki ou autres thérapies énergétiques.
Qu’est-ce que l’Akasha?
Le mot Akasha signifie en sanscrit «éther» ou «espace». Il est l’un des cinq éléments de base de l’univers. C’est le vide permettant aux quatre autres éléments d’exister et de se manifester. Ce terme définit un plan de la Conscience Cosmique qui agit comme une matrice, qui est enregistrée dans la mémoire de la planète et de tout les êtres qui l’habitent, et ce depuis l’aube de la Création. Cette matrice contient tout et nous relie au passé, au présent et au futur de l’Humanité.
Pourquoi parle-t-on d’Art de la thérapie?
La thérapie Egypto-essénienne, tout au long de son apprentissage, vise à faire découvrir à l’étudiant un nouvel équilibre de ses corps subtils et à se reconnecter avec les énergies du Ciel et la Terre. Grâce à ces expériences, la conscience, l’âme et le corps se ré-alignent au Soi et l’individu développe des capacités d’auto-guérison devenant ainsi un canal qui guérit le manque d’harmonie chez lui-même et chez les autres.
Les techniques et les connaissances acquises sont des pratiques et protocoles, mais elles sont une complémentarité, car seul le cœur est la voie pouvant contribuer à déclencher le processus d’harmonisation des corps et de la santé. En ce sens, elle devient un Art, un état d’Etre, un Art de vivre également.
Quelle est l’origine de ces soins, quels liens y a t’il entre les égyptiens et les esséniens ?
L’évidente sagesse que nous retrouvons dans l’apprentissage des techniques thérapeutiques, suggère que les origines de cette thérapie sont très anciennes et qu’elle relève d’une vision holistique de l’être humain. Cette lointaine origine est d’autant plus probable du fait que cette dernière partage de nombreux traits communs et certains concepts fondamentaux, liés à la maladie et à la disharmonie chez l’être humain, avec différentes philosophies et religions connues. L’ancien peuple égyptien a été le dépositaire de cet enseignement.
Revenons aux temps de l’ancienne Egypte, sous le règne d’Akhénaton et d’Aménophis III au cours duquel Akhénaton incita ses citoyens à développer toute forme d’art et tout particulièrement l’art de la médecine et de la guérison.
Parallèlement, certaines sources considèrent que les esséniens étaient gardiens d’anciennes connaissances thérapeutiques. Ces connaissances peuvent être comparées à celles qui se sont développées notamment sous le règne d’Aménophis III et d’Akhénaton.
Une partie de ces connaissances fut apportée, en Palestine, par l’exode de Moïse, et successivement cet art s’est développé à partir des nombreux contacts entre les Esséniens et leurs voisins, les Égyptiens.
Plus concrètement, l’étude des pratiques égyptiennes et leur comparaison avec celles transmises par les Esséniens, permet d’établir les liens suivants :
- la conception de l’être humain comme étant formé de plusieurs corps intégrés l’un dans l’autre;
- la pratique de la lecture d’aura comme un outil de diagnostic de l’état de santé de ces corps subtils;
- la connaissance des centres d’énergie et des courants de la vie dans le corps, dont la défaillance entraîne un déséquilibre qui affecte également le corps physique.
- De nombreuses pratiques thérapeutiques Esséniennes et Egyptiennes sont basées sur le rétablissement de l’harmonie entre les centres d’énergie et la fluidification des courants de vie dans le corps.
Les traditions qui nous inspirent
Quelles connaissances avons-nous des Esséniens ?
L’origine de la communauté essénienne est inconnue, et la signification du nom est incertaine. Il s’agit d’un courant spirituel qui s’est développé en particulier en Palestine et en Égypte. Le site le plus connu est celui de Qumran, près de la mer Morte où a été retrouvé une véritable librairie des écrits du premier testament. Ce mouvement a débuté au deuxième ou au troisième siècle avant notre ère pour s’éteindre au premier siècle probablement avec la deuxième persécution des Juifs par les Romains. Cette tradition s’est probablement intégrée à d’autres cultures avec la diaspora juive.
Cette communauté était constituée de médecins guérisseurs, d’agriculteurs et de producteurs de fruits. Ils avaient une profonde connaissance des herbes, des éléments et des couleurs.
Ils vivaient une vie simple et ordonnée souvent sur les rives des lacs et des rivières. Ils n’avaient ni esclaves ni serviteurs , parmi eux il y avait ni riches ni pauvres, ils partageaient tout ce qu’ils possédaient. Certainement, ils ont été les inspirateurs du style de vie préconisé par les actes des apôtres. Une partie importante de leur temps était dédié à l’étude de la médecine , de l’astronomie et de l’éducation. Leur mode de vie sain leur a permis d’atteindre de longues vies. Ils ont abandonné les sacrifices d’animaux et suivaient un régime végétarien.
Leurs enseignements ont très vraisemblablement influencés des personnages comme Elie, Jean-Baptiste, Jean le bien-aimé ainsi que Jésus lui même.
A qui s’adressent les soins Egypto-esséniens ?
Ces soins thérapeutiques s’adressent à tous, que ce soit pour trouver une réponse à un désordre physique, un mal être ou « mal a dit » ou permettre tout simplement d’aller plus en profondeur à l’intérieur de soi-même ou à la découverte du Soi.
Ils sont un soutien à la personne malade, au vécu de privation existentielle, de souffrance physique, psychique et mentale. Elles agissent sur la dissonance entre âme et corps et reconnectent l’être humain aux énergies de la terre et du ciel, en portant l’organisme à un nouvel équilibre et à une nouvelle harmonie.
La gamme des thérapies Egypto-Esséniennes comprend une série de traitements pouvant aider une personne à cohabiter avec une maladie telle que le diabète, le cancer, la sclérose en plaques, le SIDA, l’allergie, les intolérances alimentaires, l’hypertension, la dépression, l’Alzeimer, le Parkinson, etc… C’est la compréhension des causes qui ont conduit l’individu à la maladie qui permet de ramener l’équilibre et l’harmonie entre le corps et l’âme.
Ces soins permettent de mettre un peu plus de lumière sur des zones un peu oubliées ou blessées, où l’énergie du corps ne passe plus de façon harmonieuse. Ils permettent une libération des mémoires cellulaires (appelées aussi samskaras), ils permettent de débloquer les énergies dans les nœuds principaux décrits par la tradition orientale.
Dans ce sens, ces soins permettent de guérir le corps mais aussi l’Ame et d’apporter ainsi équilibre, paix et sérénité.
Il y a des thérapeutes répartis sur tout le territoire Français, en Suisse et au Québec. Si vous le souhaitez, vous pouvez les contacter dans la rubrique « Thérapeutes » de ce site.
Si vous n’arrivez pas à trouver un thérapeute près de chez vous, vous pouvez nous contacter à cette adresse email : info@maisondevie.fr
Comment devenir thérapeute en soins Egypto-Esséniens, des pré-requis sont-ils nécessaires pour entreprendre la formation ?
Faut-il avoir des connaissances d’anatomie ou de médecine ?
Nos ancêtres égyptiens et esséniens considéraient la thérapie comme une forme d’art intérieur. Chaque être humain est incroyablement différent des autres. C’est sont unicité qui le rend si profondément touchant. C’est aussi la raison pour laquelle la thérapie ne peut pas être mécanique et s’appliquer de la même manière à tout un chacun. La thérapie est un art si seulement nous la laissons prendre profondément racine en nous. C’est en redécouvrant notre propre unicité que nous pouvons d’autant plus accepter l’autre dans sa différence.
On ne devient pas thérapeute, car l’art de la thérapie est toujours en devenir. On le devient chaque jour un peu plus. La thérapie est plus un chemin qu’un but, car soigner veut dire grandir et faire grandir.
Conduire la conscience de chacun à retrouver de manière tangible la notion d’intégrité entre corps et âme, peut donner un nouvel équilibre à l’être, et, surtout, une base solide pour créer une relation d’aide saine entre le thérapeute et la personne qui choisit de recevoir un traitement. Dans la pratiques des soins Egypto-Esséniens, il était, et il reste avant tout important, d’apporter une attention particulière à cette relation : les personnes qui cherchent de l’aide pour sortir d’une difficulté, d’une douleur existentielle ou d’un mal-être physique, se présentent souvent dans un état de besoin auquel correspond la sensation intérieure de se sentir petit, abandonné et/ou sans défense.
Les Egyptiens antiques enseignaient avant tout à rendre à la personne sa propre dignité, de telle manière qu’elle puisse recontacter en elle toutes les ressources latentes et nécessaires pour guérir. Le fait de se redécouvrir « thérapeute » consiste à avoir intiment compris que l’on n’est pas guérisseur, que l’expérience acquise au cours des années nous permet de devenir un pont entre l’être humain et le Divin, entre le soin et la maladie, et que l’acte thérapeutique est un art, un acte d’amour, qui se construit dans la relation, en co-création avec le patient.
En partant du principe selon lequel l’apprentissage des pratiques énergétiques est indissociable d’un parcours de transformation intérieure, les thérapies enseignées pendant les trois années de formation sont simplement des lignes de conduite auxquelles le thérapeute peut s’atteler pour apprendre à modeler l’acte thérapeutique à n’importe quelle demande d’aide, ceci grâce à la redécouverte et l’emploi de ses sens subtils et de ses propres capacités thérapeutiques.
Tous peuvent participer à la formation indépendamment de leur formation initiale et de leurs dons.
Une connaissance d’anatomie ou de médecine est une aide certaine, mais pas indispensable. Pour ceux qui ont déjà une connaissance de l’anatomie humaine, la formation combinera la connaissance et la pratique concrète : apprendre à percevoir au niveau subtil les reins ou le foie afin de déchiffrer l’état de santé.
Pour ceux qui n’ont pas de connaissances particulières, des éléments d’anatomie seront donnés aux élèves afin de les aider dans la pratique des thérapies enseignées.
L’enseignement est essentiellement pratique. Ce contact direct avec des éléments tels que l’énergie, les chakras va permettre à chacun de comprendre les concepts au-delà de toute théorie et notion ou dogme, et d’avoir sa propre expérience et ressenti.
Il n’est pas nécessaire d’avoir des dons particuliers : les années d’expérience ont montré que ce n’est pas tant les dons innés qui font qu’une personne développera plus ses capacités qu’une autre. L’envie et la continuité sont les deux véritables forces qui vont permettre un véritable éveil des sensations subtiles.
La formation s’effectue sur deux ans. C’est le temps nécessaire pour véritablement développer les perceptions subtiles, permettre à chaque élève d’intégrer ce qu’il a appris et expérimenté lors des cours.
Ce qui est vraiment important sur un chemin de croissance intérieure c’est d’abord la pratique sur soi-même. Apprendre comment l’on perçoit son propre corps, comprendre les questions qui déclenchent en nous des conflits et des blocages. Il s’agit de trouver un nouvel équilibre, de vivre les expériences qui imprimeront un changement.
Ces deux années sont rythmées de périodes de cours et de partages au cours desquels les étudiants vont expérimenter en groupe, avec la possibilité de partager et de comparer, de se pencher sur les différentes facettes d’un même problème.
Les quelques semaines laissées entre les cours seront utiles pour pratiquer les soins enseignés, et également, cet apprentissage ne peut être séparé d’un chemin de croissance intérieure, menant l’élève à un équilibre sain pour lui-même et les autres.
J’aimerais participer à la formation, mais en ce moment je n’en ai pas les moyens financiers ?
Nous partons du principe que les difficultés financières ne doivent être un frein pour personne. Parlez-nous en librement et nous trouverons une solution ensemble.
J’aimerais un éclairage sur la lecture d’aura ?
L’aura est l’émanation de notre conscience autour de notre corps. Elle prend souvent la forme de formes, de couleurs, parfois même d’images qui représentent la vitalité, les émotions, les sentiments vécus. Elle est en quelque sorte la «carte d’identité subtile» de notre être.
Lire l’aura signifie avoir accès à un monde dans lequel les nuances et l’éclat des couleurs sont incomparables. Chaque couleur, chaque forme sont autant d’indices qui, mis ensemble, dressent le tableau de la personne qui se trouve face à nous. L’aura permet souvent d’identifier, de comprendre et d’aider une personne qui souffre. Il s’agit donc d’un outil précieux pour les thérapeutes et pour ceux qui souhaitent simplement aider. L’important, c’est de se rappeler que la lecture de l’aura ne donne que des indications, des pistes de réflexion. Elle n’entend pas remplacer un examen médical.
La lecture d’aura est la pratique consistant à essayer de voir les différentes émanations énergétiques émanant du corps du patient ou de la personne « lue ». Le corps émet différentes radiations énergétiques, différentes auras, correspondantes à différentes informations.
Il existe ainsi:
– l’aura éthérique ou aura vitale est l’aura la plus fine et plus proche du corps humain (épousant de très près la forme du corps). Elle correspondant à l’énergie vitale de l’être, sa vitalité.
– l’aura astrale, ayant une radiation un peu plus grande et éloignée du corps humain. Elle correspond aux émotions (désirs, angoisses, passions…).
– l’aura mentale, qui enveloppe les auras précédentes, va encore plus loin. En elle se forme les pensées.
– l’aura causale est encore plus grande que les précédentes. C’est en elle que l’on peut déceler l’origine de certaines maladies qui prennent naissance dans les vies passées ou dans le ventre de la mère. Elle met en relation avec le monde des causes.
Comment voir l’aura?
Apprendre à «lire» l’aura, signifie être en mesure de la laisser venir à soi – avec hospitalité, compréhension, ouverture et ce, sans porter aucun jugement envers les différentes facettes de la vie d’une personne. Ces dernières peuvent se présenter sous forme de couleurs, d’images, de sensations ou de symboles. Mais seule l’expérience acquise à travers une longue formation permet d’en saisir le sens.
Lire l’aura signifie non seulement avoir accès à un monde où les couleurs, les nuances et l’éclat de ce qui nous apparaît sont tout-à-fait incomparables mais il permet également de donner une explication ou d’aider la personne, dont nous faisons la lecture, en identifiant les difficultés et les maladies pouvant survenir. En fait, la lecture d’aura est un outil précieux tant pour les thérapeutes que pour ceux qui veulent aider leur prochain.
La pratique de l’accueil de l’aura humaine implique, avec le temps, une recherche de la transparence intérieure. Comment accéder aux profondeurs de l’autre si nous nous refusons de voir les nôtres ? C’est pourquoi apprendre à lire les auras est un processus indissociable d’un travail de la croissance interne. Chaque couleur, image qui émerge est un indice qui s’ajoute à un tout, nous fournissant une image plus précise de la personne qui se trouve devant nous.
La lecture d’aura se base sur le point de vue considérant le corps humain et ses corps subtils comme une totalité, c’est-à-dire un ensemble unique et indivisible dont les différents corps cohabitent et permettent de vivre une qualité de vie plus intense et authentique. Ce point de vue permet d’accueillir les parties divine, humaine et animale existant en soi, de jouir de l’unicité de son être et de celui d’autrui ainsi que de retrouver la liberté d’être soi-même.
Cette liberté intérieure peut être cultivée graduellement en prenant conscience de la « sacralité » qui se manifeste dans chaque instant de notre vie profane, à travers notre quotidien. Parfois, connaître davantage ce qui nous est inconnu, méconnu ou nié, permet au corps de se détendre et de vivre avec une plus grande tranquillité d’esprit les états d’âme inévitables, comme la souffrance, la douleur, l’inconfort car il comprend que tout cela fait partie d’un processus de croissance : celle de l’âme.
De ce point de vue, les obstacles sont en nous. Ils sont créés par notre regard et vivent uniquement parce qu’on accepte de les considérer comme tels. En fait, les réponses et les solutions dépendent du regard que nous adoptons pour percevoir et mesurer le monde. Changer notre regard sur le monde dépend de l’importance des obstacles que la vie nous présente. Cependant, si vous portez votre attention au sein de vous-même, dans votre cœur, vous constaterez qu’il n’y a plus d’obstacles.
Grandir signifie ici trouver son propre équilibre âme-corps et développer des solutions aux problèmes que la vie nous offre, en laissant tomber les automatismes qui nous conditionnent. Dans cette qualité d’esprit, l’entrave n’a jamais eu lieu. Seule existe la sensation qui en dérive, celle d’avoir brûlé avec la flamme du cœur, les obstacles et leur réalité illusoire.
Toute expérience de vie vaut la peine d’être vécue. Elle permet d’apprendre et de rééduquer notre propre regard afin de voir les choses sans jugements mais plutôt avec une réelle tendresse et ce brin d’humour qui peuvent aider à faire de chaque événement de notre vie une réelle source d’enrichissement et de croissance.
En quoi la lecture d’aura est-elle utile ?
Elle offre la possibilité d’établir un diagnostic de l’état de santé et d’harmonie des corps subtils reliés au corps physique.
La lecture de l’aura n’est pas une technique. Elle arrive pour chacun avec des modalités et des temps différents. Elle est une question de regard et demande de la persévérance dans l’entraînement.
Apprendre à lire l’aura permet d’ouvrir une fenêtre non seulement sur la vie actuelle de la personne mais aussi sur ses vies antérieures. Bien sûr, il ne s’agit que d’une possibilité, qui ne sera ouverte qu’avec l’accord profond de la conscience supérieure de la personne qui ouvre son aura à la lecture.
Quel est le sens du terme « Aider » dans la conception Egypto-Essénienne ?
La première définition que l’on peut lire dans le dictionnaire du mot « aider » est: « faciliter l’accomplissement d’une action ; faciliter l’accomplissement d’une action réalisée par quelqu’un ».
Aider, en suivant cette définition, est servir tel un pont pour permettre à quelqu’un (ou soi même) de passer d’un état d’être ou d’une situation à une autre, qui généralement est plus porteuse, bienfaisante. Il y a dès lors le retrait de soi ou plutôt de son « moi », de son égo, pour servir une cause plus importante.
Afin d’aider autrui, et servir dans le cadre d’une croissance intérieure personnelle, il nous faut aller au-delà, inspirer, toucher profondément l’âme.
Comment faire pour aider à être meilleur ?
Nelson Mandela, lors de son investiture à la présidence sud africaine en 1994, a cité ce texte de Marianne Williamson:
Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur, notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite. C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraye le plus. Nous nous posons la question : qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?
En fait, qui êtes-vous pour ne pas l’être ?
Vous êtes un enfant de Dieu. Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde. L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.
Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous. Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus, elle est en chacun de nous et en laissant briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.
En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres.
Aider est dans ce sens contribuer à ce que notre lumière, et la lumière intérieure des autres, se révèle de plus en plus.
Aider, est ainsi avant tout, s’aider soi même. C’est-à-dire s’offrir le meilleur afin de tirer leçon de l’expérience que nous vivons pour grandir, sortir plus mûre, enrichi ou un peu plus équilibré. C’est instaurer plus de lumière ou fluidité en nous grâce à une situation qui va servir de tremplin, nous permettant de dépasser un état d’être, un blocage, ou un aspect en nous que nous qualifierons, en référence au terme de lumière cité ci-dessus, « un peu moins lumineux ou harmonieux ».
Pour arriver à un état transcendé, il nous faut prendre contact avec une partie en nous qui est « au delà » de la conscience limitée que nous pouvons avoir lors de l’expérience que nous vivons, afin d’avoir une vue plus grande, et plus profonde, objective. Comment prendre contact avec cette partie qui est moins « touchée » par les émotions quotidiennes, cette partie qui nous veut du bien, ou cette partie qui voit « au delà » ? Plusieurs traditions nous proposent des méthodes pour arriver à un peu plus de silence en nous, calmer des émotions qui nous font pencher d’une coté plus qu’un autre ou calmer des pensées qui s’ajoutant nous amènent des fois malheureusement à moins d’objectivité. Au-delà de la technique, c’est davantage une démarche de simplicité qu’il nous faut tendre, une démarche de fluidité…. le cœur.
Si nous parvenons à laisser notre cœur s’exprimer spontanément, sans laisser le mental ou des questions du type (est ce bien de… ? devrais je… ? ou autres), ou encore laisser place à des émotions, qu’elles soient de tristesse, d’amertume ou quelle que soit la couleur qu’elles puissent avoir, alors nous laisserons plus de liberté et plus de place à notre partie intérieure dans notre vie, à plus de joie, de bonheur, mais aussi d’humanisme.
Il est bien souvent des fois où l’on ne sait pas quoi répondre à un être en demande ou nous exprimant ses difficultés. L’écouter, lui montrer de l’attention, et lui sourire redonnera certainement à cette personne un peu plus de sensation d’être important, d’exister, de se sentir moins seul, séparé. Cela donnera un peu plus de chaleur, un peu plus de lumière. C’est essayer alors d’accompagner l’être à un retour de sentiment d’unité intérieur et extérieur.
S’aider soi-même pour être capable d’aider :
S’aider correspond à instaurer en premier lieu un certain équilibre en nous, un équilibre qui nous permet de ne pas vivre dans des extrêmes, dans des douleurs ou des situations aveuglantes.
S’aider est alors synonyme de rechercher à instaurer une qualité de vie et d’être en nous qui nous amène fluidité, plaisir, joie et sentiment d’unité. C’est alors savoir écouter ses besoins, ses capacités, son corps pour reconnaitre nos limites ou nos possibilités, nos forces ou nos faiblesses. C’est s’offrir des moments pour soi, des moments de retrait pour pourvoir par la suite mieux avancer.
En instaurant plus de fluidité en nous, ou en laissant le courant de vie en nous circuler plus librement, nous redevenons tel une barque qui coule avec le courant de la rivière: nous gagnons en stabilité, équilibre, force et sagesse, et nous avançons avec le grand tout (ou dans ce cas le « grand eau » !).
En instaurant donc de la clarté en nous, nous pouvons par notre exemple accompagner les personnes en demande, non grâce à une démarche intellectuelle mais plutôt grâce une pratique qui exprime un vécu, une expérience de chutes, d’attentes, mais aussi de confiance, d’équilibre puis de force, qui permet dès lors d’exprimer plus de compréhension et compassion à ce que vit l’autre.
Aider, plus que de permettre de grandir, permet et engendre un « rouage » de transformation bien plus grand. La petite roue (qui concerne notre action locale) se répercute sur la grande roue (que nous pourrons définir comme cosmique, où énergie qui nous englobe) , comme la grande roue influe sur la petite.
La gamme des thérapies Egypto-esséniennes comprend une série de traitements pouvant aider une personne à cohabiter avec une maladie telle que le diabète, le cancer, la sclérose en plaques, le SIDA, l’allergie, les intolérances alimentaires, l’hypertension, la dépression, l’Alzeimer, Parkinson, etc… C’est la compréhension des causes qui ont conduit l’individu à la maladie qui permet de ramener l’équilibre et l’harmonie entre le corps et l’âme.
En dehors des thérapies, proposez vous d’autres activités?
À la fin des deux ans de formation, un voyage «découverte» est organisé pour célébrer cet événement. À cette occasion, la destination est choisie par l’ensemble des élèves. Même si la destination change, le voyage se veut, à chaque fois, comme un cheminement intérieur à la rencontre des traditions anciennes.
Des conférences sont proposées en soirée, et également des ateliers généralement sur une journée.